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APSEM
21 décembre 2014

Paris le 6/12/2014 Extrait de la Note remise à Mr ROUSSET le 26/11/2014 EROSION MARINE Cas particulier des côtes sableuses, pl

Paris le 6/12/2014 àExtrait de la Note remise à Mr ROUSSET le 26/11/2014

 

EROSION MARINE

Cas particulier des côtes sableuses, plages et dunes de Soulac-sur-Mer

 

L’érosion est un phénomène naturel, amplifié par les actions humaines, qui provoque une redistribution incessante du sable et des sédiments le long du trait de côte entraînant des déplacements, ou pire la disparition de plages et de dunes.

Les solutions adoptées de par le monde pour contrer ce phénomène sont nombreuses et variées, mais toutes ne sont pas transposables au rivage de Soulac-sur-Mer qui, outre les effets directs de la houle océanique, est soumis aux effets contrastés du plus grand estuaire européen, la Gironde. Alors qu’inversement des solutions démontrées à Soulac-sur-Mer seraient facilement applicables aux côtes aquitaines soumises aux mêmes forces océaniques mais sans l’interférence d’un effet estuaire.

De l’analyse de ces solutions, mais aussi des différents rapports dont nous avons eu connaissance (différents rapports Artelia dont ceux de Septembre 2013 et d’octobre 2014, le rapport BRGM de Nov. 2014,  l’excellente étude « Les impacts du changement climatique en Aquitaine de 2013 », etc.), on peut  cependant tirer quelques grandes lignes, sur lesquelles une stratégie adaptée à Soulac-sur-Mer pourrait se structurer autour de cinq idées fortes :

  1. Le besoin de connaître et de comprendre les phénomènes maritimes côtiers est clairement la première des actions à entreprendre. Les données de profondeur, de courant, de nature des fonds, de météorologie doivent être mesurées dans la durée, afin d’établir l’historique de leurs évolutions.
  2. Le passage de la compréhension à la réalisation d’ouvrages requiert une simulation qui validera non seulement les solutions les mieux adaptées, mais également les caractéristiques techniques détaillées de chacune.
  3. Lever des données, analyse des évolutions et simulation sont des préalables d’autant plus nécessaires à la mise en place de solutions, que celles-ci seront coûteuses ou auront des conséquences irréversibles sur l’environnement.
  4. d.     Chaque solution mise en place isolément provoque des effets secondaires indésirables. C’est donc plutôt vers un ensemble de solutions concourant au même objectif qu’il faudrait s’orienter, afin d’atténuer mutuellement ces effets secondaires.
  5. e.      Privilégier chaque fois que possible les solutions qui limitent les conflits d’usage.

La note 3 en annexe fait un rappel succinct des causes de l’érosion marine dans notre région et liste quelques solutions pouvant limiter ou réduire l’effet érosion du trait de côte.

En fait il faut résoudre le conflit entre la dramatique érosion des côtes qui requiert des solutions urgentes,  et la durée de gestation des études de fond à réaliser ou compléter qui est obligatoirement longue.

Dans cette optique :

1 - l’APSEM propose des actions à effet immédiat :

- Tester dès cet hiver le procédé Dédale, selon l’idée développée par l’équipe du PACT dirigée par le Pr. Schvoerer, et qui vise à réduire la vitesse de circulation de l’eau jusqu’au pied de dune (Cf. note nº1 jointe et estimation du coût correspondant).

- Démontage des protections illégales et sauvages  (digue et palplanches) mises en place  entre Soulac et l’Amélie qui accélèrent considérablement le retrait du trait de côte (la relocalisation du camping occupant les lieux est possible, la Mairie ayant d’ores et déjà identifié des terrains).

- Réduire la dérive longitudinale, en construisant immédiatement un épi supplémentaire entre la plage de Soulac et le VVF, c’est-à-dire là où l’érosion est la plus importante. Un devis des travaux peut être très rapidement obtenu compte tenu de l’expérience des travaux en cours. Il semble toutefois y avoir divergences de vues entre les experts sur le bienfondé de cette solution.

- Acquérir les données du milieu maritime qui, selon toutes les études récentes font cruellement défaut et mandater le SHOM, l’organisme le plus compétent  et dont les missions incluent ce type d’interventions, afin de réaliser les études de courantologie, bathymétrie et nature des fonds.

- Analyser systématiquement les conséquences des déplacements alluvionnaires en liant obligatoirement tous prélèvements de sables et granulats à une étude d’impact sur l’érosion côtière et non simplement une étude environnementale (à titre d’exemple, le déficit en sable sur la côte soulacaise est proportionnel aux prélèvements de granulats en amont et au large !).

- Lancer immédiatement une réflexion sur une logique d’estuaire afin de disposer d’une structure d’information et de concertation incorporant les deux rives de l’estuaire y compris l’ensemble de la zone d’influence du panache estuarien (rive sud jusqu’à La Négade qui semble systématiquement omise : voir shéma ci-dessous). Cette Logique d’estuaire est soutenue par plusieurs Associations (dont PACT et  « Une Pointe pour Tous » établie sur les deux rives). Elle a par ailleurs retenu l’attention du Chef d’Unité à la Direction Générale Politique Régionale et Urbaine à la Commission Européenne, Mr Rasmussen, qui s’est engagé à faire apparaitre un lien dans les Programmes Opérationnels FEDER/FSE Aquitain et Midi-Pyrénées pour que puisse être prise en compte cette vision d’estuaire.

2 - L’APSEM propose aussi des actions immédiates dont les effets se feront sentir à moyen/long terme :

Faire de Soulac-sur-Mer un site pilote dans le but d’évaluer, simuler et valider un ensemble de solutions à long terme susceptibles d’être appliquées dans d’autres sites aquitains. Soulac-sur-Mer présente en effet une situation particulière, face à l’océan et adossée à l’estuaire de la Gironde, avec un site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO qui ne permet pas en particulier d’envisager de solutions de repli. Diverses solutions pourraient y être simulées, telles que :

- modalités techniques et financières de mise en œuvre d’une politique de ré-ensablement des plages et dunes, en notamment en utilisant les sables de dragage actuellement rejetés au large et donc perdus pour tous (en 2014, Artelia a estimé que la seule cote de Soulac avait perdu 600.000 m3 de sable !!).

- possibilités et conséquences d’un engraissement des hauts fonds protégeant le littoral contre les fortes houles,

- Analyse des résultats du test lancé à Vendays-Montalivet pour réduire la houle avec le procédé Sable.

- Lancer des études de simulation visant à réduire la puissance de la houle, par l’emploi de systèmes brise-houle sur les hauts fonds au large de Soulac. Ainsi une étude de simulation d’un système HOULOMOTEUR, tel que proposé actuellement par la DCNS et FORTUM (cf. note 2 jointe) pourrait être envisagée sur le Banc des Olives et/ou le Banc des Chevriers.

- Approfondir la connaissance de notre environnement maritime, non plus du seul point de vue terrestre, mais également d’un point de vue maritime et sur le long terme. A cet effet, un suivi régulier et concomitant des données par le SHOM et le BRGM est à mettre en place sur les 10 prochaines années (chaque 2 ans par exemple).

 

Une Logique d’estuaire – Un environnement à comprendre.

 

carte

 

 

Note 1 : Le procédé Dédale

DOCUMENT DE TRAVAIL (18 novembre 2014)

 

« DÉDALE » ET L’ÉROSION DU LITTORAL À SOULAC-SUR-MER

Proposition des associations PACT* ET APSEM**
 

« DÉDALE », UNE SOLUTION LOCALE DE LUTTE CONTRE

L’ÉROSION DU LITTORAL

 (Dossier opérationnel )

 

 I – RAPPEL ET STRATÉGIE

Le problème, c’est la vitesse de la vague qui déferle - Lorsque la vague en mouvement atteint le pied de la dune de sable immobile, sa masse ne varie pas mais sa vitesse s’annule en un temps très court. On montre en Physique qu’Il en résulte une force qui est l’agent de dégradation de la dune. Cette force dépend de trois paramètres : la masse liquide de l’eau, sa vitesse et la durée  de l’impact.

Un mur couché - Pour diminuer cette force on ne peut agir que sur la vitesse (en la réduisant) ou sur la durée de l’impact (en l’allongeant). C’est ce que nous proposons d’essayer de faire en substituant à un mur "vertical" classique, une structure presque « horizontale », parallèle au profil de la plage " et   formée d'un réseau d’obstacles reliés entre eux. Leur fonction est de réduire au maximum la vitesse du flux et de faire durer l’impact…

Avec 2 contraintes absolues :

1)     Le système doit être démontable c’est-à-dire qu’à partir du mois de Mai la plage doit retrouver son intégralité

2)     Aucune pollution ne doit être possible, par exemple si, lors d’une forte tempête, la mer venait à détruire une partie de Dédale

C‘est  le défi relevé par APSEM en association avec PACT, l’Association présidée par le Pr Schvoerer, également V.Président de notre association. Défi qui nous a amené à faire des propositions très précises aux autorités.


 II – LES MATÉRIAUX : NATURE, CARACTÉRISTIQUES ET ORGANISATION.


            En cours de confirmation et validation

 

III – MISE EN ŒUVRE – PHASE D’ÉVALUATION.

 

En cours de confirmation et validation car le schéma prévu doit

-          Limiter la houle frontale

-          Tenir compte du courant parallèle au rivage

-          Limiter au maximum la cavitation en pied de dunes

-          Etre totalement écologique, c’est-à-dire sans impact possible sur l’environnement

-          Démontable chaque printemps

 

IV – BESOINS FINANCIERS: ±200 k€

Les besoins estimés pour conduire l’expérimentation DEDALE sur une durée de 5 mois ont été détaillés et seront vérifiés dans les toutes prochaines semaines avec la CdC, les fabricants ainsi que les Services compétents de la Région.  L’idéal serait de faire le test grandeur nature dès cet hiver ; plus réalistiquement nous envisageons au pire un essai plus réduit permettant dès Février de tester les matériaux envisagés. Le(s) devis tiendront compte de cette expérimentation en 1 ou 2 phases selon les possibilités.

Note : les points II, III et IV ont fait l’objet d’une définition précise pour le Président A. Rousset. Ce sont ces points qui sont en cours de vérification, validation et chiffrage précis.

 

* PACT - Association "Sciences et Patrimoine (PACT)" présidée par le Pr. Schvoerer

** APSEM : Association pour la Protection de Soulac contre l’Erosion Marine

 

Note 2 : Ancrage d’ouvrages immergés brise-houle sur les hauts fonds. Cas du Banc des Olives et d’un système Houlomoteur (DCNS).

En association avec FORTUM, la DCNS propose un système Houlomoteur (Waveroller) dont le principe est simple : Il repose sur un battant, comparable à une porte (schéma ci-dessous), qui repose sur le fond de la mer. Le mouvement de va-et-vient que lui imprime la houle crée de l'énergie, récupérée par des engins hydrauliques pour être transformée en électricité.

Dans le cas des hauts fonds de Soulac-sur-Mer (Banc des Olives et/ou Banc des Chevriers) ce système pourrait entrainer un triple avantage :

-          récupération d’énergie d’une part ;

-          écrétage des fortes houles et limitation du creusement de celle-ci d’autre part ;

-          absence de conflit d’usage enfin.

Le PDG de la DCNS, Mr Bernard Planchais rencontré le 18 Novembre lors des Mardis de la Mer (Paris), semblerait disposé à envisager une unité pilote au large de Soulac.  Fortum a expérimente le système au Portugal, et une expérimentation DCNS/FORTUM est envisagée en Baie d’Audierne.

Une étude de validation est un préalable indispensable avant d’envisager une réalisation in-situ.

 

houlomoteur

 

La CdC Pointe du Médoc fait déjà partie du Programme EMACOP. Ce qui signifie que ce type de solution est d’ores et déjà envisagée et semble parfaitement plausible.

 

Note 3 : Rappel des causes et solutions possibles face à l’érosion marine.

Analyse succincte des causes :

La houle, les vagues, les marées, la teneur des fonds et les actions humaines sont les principales causes du phénomène d’érosion.

La houle et les vagues provoquent un effet de collision (les vagues frappent et cassent le pied de dune), de submersion (les vagues submergent la dune entraînant une inondation derrière elle) et d’agitation (le sable mis en suspension est ensuite déplacé par les courants).

La direction majoritaire des vents et des vagues, la hauteur et la longueur de la houle sont parmi les paramètres à prendre en compte. Lorsqu’elles ne sont pas perpendiculaires à la côte, les vagues induisent un courant de dérive parallèle à celle-ci qui présente devant Soulac-sur-Mer une direction singulière orientée Sud-Nord. Cette dérive littorale constitue aujourd’hui le principal facteur contrôlant les flux sédimentaires.

Les marées sont à l’origine de deux phénomènes liés à l’érosion :

-          la montée bi-quotidienne du niveau des eaux passant par un maximum fonction des phases de la lune,

-          des courants de flot et de jusant, accompagnant la montée et la descente des eaux. La présence de passes d’accès (comme la passe sud de l’estuaire de la Gironde) amplifie la force de ces courants. Dans le cas particulier d’un estuaire comme la Gironde, les courants de marée s’opposent ou s’additionnent au courant fluvial, ajoutant encore à l’agitation des eaux.

L’élévation du niveau des eaux (conséquence du réchauffement climatique), se conjuguant avec les effets de la marée et des tempêtes, peut conduire au franchissement des protections que constituent les dunes naturelles ou les digues et les perrés artificiels.

Enfin, les activités humaines, comme les constructions en bord de mer, le dragage des fonds, le prélèvement de granulats ajoutent aux causes naturelles décrites ci-dessus.

 

Les données à acquérir ou retrouver :

Les données concernant les stocks sédimentaires et la cyclicité des bancs et chenaux au large de l’estuaire de la Gironde dont on dispose actuellement sont insuffisantes.

Elles permettraient d’établir :

-          une ressource documentaire historique des cartes de l'estuaire. C’est un moyen de vérifier si les modifications du trait de côte à Soulac constituent ou non un phénomène cyclique dont la période pourrait ainsi être évaluée. En rejouant les évolutions historiques, on peut qualifier un modèle de simulation.

-          un lever complet et régulier (tous les 2 ans dans les 10 prochaines années) de la bathymétrie (profondeur), de la courantologie (vitesse et direction des courants) et de la nature des fonds (notamment des zones de fond rocheux comme le platier de Cordouan de nature à casser la houle) pour toute la zone de l’ouvert de l’estuaire.

 

Les actions réductrices :

On peut les regrouper en quatre catégories principales :

-          celles qui ont pour effet de réduire l’énergie des vagues et de la houle (hauteur et vitesse),

-          celles qui permettent de canaliser la dérive longitudinale du sable et de le fixer aux endroits névralgiques,

-          celles qui tendent à déplacer du sable vers les zones déficitaires, tout  en limitant les extractions au large,

-          enfin, celles  qui visent à protéger le trait de côte.

Les deux premières relèves d’une logique plus maritime et les deux dernières d’une logique plus continentale.

 

Quelques solutions :

1-     Réduire l’énergie

-Etablir des brise-lame ou brise-houle : il s’agit de systèmes fixes ou mobiles qui peuvent être disposés :

-          dans la zone intertidale (estran) pour réduire la puissance des vagues qui déferlent (test notamment lancé à Vendayes Montalivet),

-          sur la plage pour réduire la vitesse de circulation de l’eau jusqu’au pied de la dune (Système Dédale actuellement étudié par l’APSEM),

-          plus au large, en utilisant les bancs ou haut-fonds existants sur lesquelles on peut ancrer des ouvrages immergés.

2-     Canaliser la dérive longitudinale

- Construire des épis, enrochements perpendiculaires au trait de côte : De façon assez unanime, ils constituent une excellente solution d’attente et d’observation. Ils ne sont cependant pas sans risque, car ils perturbent la dérive littorale, créant des zones d’accumulation de sable en amont et d’érosion en aval. Ces « effets secondaires » doivent être identifiés et pour cette raison il ne faudrait pas multiplier ces ouvrages, mais un second épi au sud de la plage de Soulac-sur-Mer où l’érosion est la plus importante est demandé par l’APSEM. Partiellement immergés à marée haute, ils présentent une nuisance visuelle acceptable.

3-     Ré-ensabler

- Ré-ensabler et engraisser en permanence les plages et des dunes : c’est la solution la plus évidente et la  plus rapide à mettre en œuvre. On peut la compléter par la mise en place de drains ou réducteurs de pression ayant pour effet de faciliter la pénétration de l’eau chargée en sable, dans une plage rendue plus sèche et plus compacte. Deux méthodes sont envisageables :

-          Drainage de la plage par un système enfoui sous la plage (sous réserve de trouver ou identifier des systèmes plus operationnels sur nos côtes que le système Ecoplage des Sables d’Olonne).

-          Réduction de la pression d’eau de mer sous la plage,  par enfouissement de tubes percés absorbant l’eau par différence de pression.

- Ré-ensabler les bancs au large : par rapport à la précédente cette solution présente l’avantage de pouvoir utiliser rapidement et sans coût de transport excessif, le sable prélevé ailleurs dans l’estuaire, notamment lors des opérations de dragage.

- Prévoir l’impact des prélèvements de granulats sur l’ensemble de la zone : le ré-ensablement ci-dessus n’a pas de sens si on crée simultanément des zones d’extraction qui vont appeler inexorablement le sable remis en place dans les zones déficitaires. Des études d’impact érosion doivent être systématiquement mises en place, pour l’ensemble de l’estuaire, dès qu’un prélèvement de granulats y est envisagé.

4-     Protéger le trait de côte.

- Adapter le cadre de vie à l’environnement : on établit une zone de non construction où on laisse les mouvements naturels du sable s’effectuer et où l’on préserve les arbres et la végétation, mais derrière laquelle on établit une protection ultime, apte à ménager du temps pour un repli stratégique éventuel, si l’érosion arrive jusque-là. Cette solution préserve le « système plage dune », véritable autodéfense du littoral, qui présente une bien meilleure résilience que les ouvrages artificiels. L’ouvrage ultime se trouve enterré, sans partie apparente, tant que l’érosion ne l’a pas atteint. Il constitue un socle solidement ancré dans le sol, sur lequel on peut envisager, si nécessaire, de construire un ouvrage de plus grande hauteur.

- Construire des digues ou enrochements parallèles au trait de côte : C’est de très loin la solution la plus critiquée. En effet, ces ouvrages prennent définitivement la place de la plage et de la dune, bloquent les échanges naturels de sable entre la dune et l’océan, détruisent l’esthétique du paysage (face à la force de l’océan il n’y a pas de demi-mesure il faut construire large et haut !) et provoquent des effets de bord accentuant les phénomènes d’érosion aux extrémités. Ils sont de plus couteux et leur entretien est en général sous-estimé. Ils produisent cependant un effet rassurant mais temporaire.

 

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